La beauté
La beauté d’une femme qui vit a quelque chose d’extrêmement énervant. C’est au moment où elle est la plus fraiche qu’on s’en sert le plus mal : maquillage outrancier et rarement réussi, étalage de chair façon boucherie, coupe et couleur de cheveux peu heureuses et conviction farouchement ancrée que « être belle, c’est capital pour être heureuse ».
Avec le temps, la jugeotte vient et la plupart des femmes comprennent que le moto est à prendre à l’envers : « être heureuse, c’est capital pour être belle ».
Mais le moment où on commence à comprendre ça, c’est pile le moment où cette chair fraiche l’est un peu moins, la cuisse est moins ferme, le nichon moins haut et la peau un poil plus fatiguée… Alors que c’est le moment où tout ce corps juvénile pourrait être utilisé de la meilleure façon!
Pfffffff, c’est injuste!
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