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Couscous d’agneau au potimarron confit

Je voue une passion aux cucurbitacées oranges. Alors que c’est une saison qui a tendance à me déprimer, l’automne me requinque avec son festival de potirons, potimarrons, patidou et les 100 façons de les accomoder.

Histoire de m’acheter une conscience bio, voici une recette de saison, destinée à respecter les plus farouches défenseurs du développement durable d’entre vous!

Or donc, il était le potimarron, petite courge orange, cousine du potiron au petit gout de chataigne et de noisette. J’aime beaucoup le cuisiner parce qu’il offre beaucoup de possibilités : sucré, salé, en gratin, farci, en soupe, en accompagnement ou en saveur principale, brèfle tout ce qu’il fait, c’est parfait!

L’inspiration de la recette m’est venue d’un plat à tajine reçu de l’Auteure de mes jours (ma mère, quoi!) qui m’a dégotté une petite merveille en faîence grise, douce, parfaite pour deux et peu onéreuse, selon elle. Je cherchais donc le moyen de l’utiliser, parce que je ne suis pas une fan inconditionnelle du couscous, il faut bien le dire…

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Couscous d’agneau au potimarron confit :

Ingrédients : Pour deux ou trois personnes :

  • Un demi-potimarron moyen
  • une cuillère à soupe de miel
  • un cm carré de gingembre
  • de la canelle
  • une étoile de badiane
  • un bouillon cube
  • de l’eau
  • des cotelettes d’agneau (6)
  • de l’huile d’olive
  • un oignon
  • une gousse d’ail
  • de la semoule

How To :

Faites confire le potimarron : Coupez le en morceaux puis otez les pépins. Réservez.

Dans une cocotte, faites revenir la moitié de l’oignon haché fin dans l’huile d’olive. Ajoutez le gingembre coupé en morceau,  l’étoile de badiane et le potimarron. Arrosez le tout du miel et d’un peu de canelle. Ajoutez la moitié du bouillon cube, un fond d’eau et fermez la cocotte. Laissez mijoter à feu doux, pour que le potimarron confise.

Dans une autre cocotte, faites revenir l’autre moitié de l’oignon dans de l’huile d’olive, ajoutez y la gousse d’ail coupée en morceaux et jetez y la viande. Faites mijoter à feu doux

Laissez mijoter les deux préparations pendant 30 minutes, au moins.

Trente minutes plus tard,  vérifiez la cuisson du potimarron. Il doit être mou mais ne pas se désagréger. Ajoutez le à la viande, laissez mijoter encore. Garder le jus de cuisson du potimarron, rajoutez l’autre demi-cube de bouillon et de l’eau que vous porterez à ébullition.

Dans le fond du plat, déposez 100 grammes de semoule. Arrosez là du bouillon de potimarron obtenu. Ajoutez sur le bouillon la viande et le potimarron. Terminez en arrosant d’un peu de jus de viande.

Enfournez votre plat à tajine pour 20 minutes à 180°C.

C’est prêt!

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Trucs et ficelles :

Pour éviter que votre plat à tajine n’explose dans votre four, trempez le pendant 24 heures dans de l’eau. Le matériau, poreux, se gorgera et cela évitera les craquèlements et autres explosions dans le four.

Au moment du service, apportez le tajine fermé à table. Les arômes qui se répandent quand vous l’ouvrirez seront un prélude de choix à la dégustation. N’oubliez pas de disposer sur la table un bol plein du reste du bouillon de potimarron, pour ceux qui aiment que le plat soit moins sec.

A terme, il faudra que j’essaye de cuire le tout directement dans le plat…Mais j’ignore si cela se fait.

L’inspiration vient de .

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Agneau cuisson basse température

Amateurs de viande de tous pays, je vous ai compris!

Etant moi-même une fervente adoratrice de la bidoche, je n’ai de cesse de chercher (et trouver, parfois) de nouvelles façons de cuire cet orgasme gustatif que peut être une bonne viande bien juteuse.  En effet, je cherche à cuire la viande de façon à ce qu’elle reste fondante, juteuse, tendre, tout en gardant son gout très particulier… Et j’ai trouvé! La cuisson basse température est exactement ce qu’il me faut : une façon de préserver tous les aromes et les sucs, afin que la barbaque reste moelleuse, presque onctueuse.

J’avais déjà essayé ce type de cuisson sur du canard et avait été conquise mais je n’avais pas osé transposer le mode de cuisson (d’ailleurs, il semblerait que la recette du canard ait disparu dans le crash du site en novembre 2008, je devrais la remettre, ce sera pour plus tard).

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Agneau cuisson basse température, sauce tikka massala

Ingrédients :

  • cotelettes d’agneau le nombre qui vous intéresse).
  • épices tikka massala
  • 1 brique de crème fraiche allégée
  • huile d’olive
  • sel et poivre

How To :

Préchauffez votre four à 100°C maximum.Enfournez votre plat allant au four, à vide. Il doit être chaud quand vous placez la viande dedans.

Faites chauffer l’huile d’olive dans une poêle. Le temps que cela soit bien chaud, assaisonnez la viande, des deux côtés, avec le sel et le poivre.

Quand la poêle est bien chaude, saisissez brièvement toutes les cotelettes, des deux côtés.

Enfournez donc la viande dans le plat et le four chauds. Laissez cuire entre 1 heure (viande rosée) et 1h15 (viande cuite).

Pendant que la viande cuit, faites chauffer la crème fraiche dans une poêle et fouettez la avec 2 ou 3 cuillères à soupe d’épices tikka massala.

Une fois que la viande est cuite, servez le tout, et mangez vite!

Trucs et ficelles :

Techniquement, on dit qu’une viande est cuite à basse température quand la viande ne dépasse pas une température de 100°C, température interne.  Ne disposant pas d’un thermomètre à viande (à votre bon coeur, M’sieur-Dames), j’ignore à quelle température est ma viande mais, même au pifomètre, elle a un meilleur gout et c’est indéniable!

Il est essentiel de bien connaitre votre four pour ce genre de cuisson, et donc il faudra probablement quelques essais pour déterminer quelle est la température idéale de votre four (entre 75 et 100°C affichés, généralement). Mon four est vieux, électrique et peu précis, j’utilise donc la température affichée de 100°C, bien que ma viande soit probablement moins chaude que ça…

L’inconvénient d’une telle cuisson est que le plat refroidit très vite et qu’il faut donc servir les morceaux le plus vite possible, sans les manipuler… A moins que ce soit un avantage?

Bon appétit!

Agneau en croute de pistaches

Pour être tout à fait honnête, l’idée ne vient pas de moi mais du gouteur officiel, qui, en plus d’être l’officiel gouteur de mes créations, l’officiel photographe de mes petits plats est aussi…un fan officiellement absolu de pistaches!

Personnellement, la saveur pistache dans les dessert me laisse froide…voire me dégoûte. Pour moi, rien de pire que ces glaces verdaches voire turquoises qu’on ose dire « à la pistache » alors qu' »au schtroumpf » leur conviendrait nettement mieux comme appellation, selon moi…

Mais, mais, mais, je voulais lui faire plaisir et me donner l’occasion de manger, je me suis donc dirigée vers une recette salée, avec ma viande favorite, faut pas pousser.

Voici donc la création. Excusez la mauvaise qualité des photos, nos lumières sont vraiment mauvaises, il faudrait qu’on change ça.

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Agneau en croute de pistaches

La recette originale vient de là.

Ingrédients :

  • 2 petites cotelettes d’agneau par personne
  • 50 gr de beurre
  • 60 gr de pistaches non salées
  • 1 à 2 cuillères à café rases de moutarde
  • sel et poivre
  • vinaigre balsamique

How to

Au robot, au burin, au marteau ou au pilon, réduisez les pistaches en poudre, en conservant certains morceaux plus épais.

Mélangez le beurre fondu, les pistaches concassées, la moutarde et mettez le mélange au frigo.

Allumez le four, puissance maximale ou 200/250°.

Faites chauffer une poêle avec un mélange beurre/huile. Jettez y l’agneau, faites revenir à feu fort (mais sans coloration) pendant 3 minutes de chaque côté. Déglacez au vinaigre balsamique et poursuivez la cuisson 2 minutes de chaque côté.

Prenez un plat allant au four, étalez au fond l’agneau précuit. Tartinez le de votre préparation aux pistaches, enfournez pendant 10/15 minutes, selon votre amour de la viande saignante. Personnellement, je pense qu’à 12 minutes, la viande atteint un idéal de cuisson, rosé autours vers le gras et encore bien saignant à coeur.

Servez aussitôt.

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Trucs et ficelles :

J’ai servi cette recette avec des pâtes, revenues quelques instants dans la poêle où avait cuit la viande, pour les imprégner des sucs. Une décoration savoureuse à la crème de vinaigre balsamique venait relever le tout.

La recette originale préconisait d’ajouter de la chapelure à la panure aux pistaches. Je ne l’ai jamais fait mais ça ne peut pas être mauvais!

J’ai essayé cette panure sur du poulet avec du riz, c’était très bon aussi.

Et bien sûr, si c’est la première fois qu’on se promène sur mon blog, filez lire « Gastronomie et pifomètre »!

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Agneau aux olives et au thym

Bon, histoire de fêter mon retour en fanfare, voici une petite recette de derrière les fagots!

Bon, j’adore l’agneau, c’est un secret pour un personne mais j’adore aussi les olives… Alors quand je peux marier les deux dans une succulente recette qui sent bon l’été en provence dans ma cuisine…

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Ingrédients :

  • une ou deux cotelettes d’agneau par personnes
  • 10 olives noires et 10 olives vertes
  • du thym frais ou sèché
  • sel, poivre
  • huile d’olive

How To:

Dans une terrine avec couvercle, posez les morceaux d’agneau, arrosez les d’huile d’olive. Coupez la moitié des olives en morceaux. Ajoutez les à la viande. Ajoutez le reste des olives laissées entières. Saupoudrez de thym. Poivrez, ne salez pas trop, les olives le sont déjà.

Regardez moi cette viande rose comme ca a l’air gustativement orgasmique (y a que moi qui salive en regardant de la viande crue?)

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Enfournez la bête à four chaud, avec le couvercle, pendant environ 20 minutes.

Trucs et ficelles :

J’ai servi cette petite merveille olfactive avec du riz. Ceci dit, avec des pommes de terres grenailles, voire des charlottes sautées à l’ail, je crois que c’est divin aussi.

En version plus individuelle, en faire des papillottes ou des petites cocottes peut s’avérer intéressant, les convives étant assaillis par les odeurs quand ils ouvrent leur plat.

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Agneau pascal

C’était Pâques, il fallait donc que l’on mange de l’agneau. Ca tombe bien, j’adore ça. Mais je n’avais aucune envie de le cuisiner bêtement en gigot, comme d’habitude. J’ai donc mixé deux recettes pour en arriver à ca : 

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Ballotin d’agneau pesto méditerranéen

Ingrédients :  Nous étions 7

  • 150 gr d’agneau coupé en dés/personne.
  • une grosse aubergine
  • 4 courgettes rondes
  • 1 botte de roquette
  • une feuille de pâte à brick/personne
  • une tranche de pain/personne
  • Quelques olives noires entières
  • une poignée de pignons de pin

Pour le pesto mediterranéen : 

  • huile d’olive
  • l’ail
  • une poignée d’olives noires
  • un peu de romarin frais
  • une botte de coriandre frais
  • une grosse poignée de basilic frais
  • quelques feuilles de menthe

How To :

Commencez par le pesto. Mixez tous les ingrédients ensemble, ajoutez de l’ail et de l’huile à volonté. Faites mariner votre viande deux heures dans le pesto.

Jettez la viande dans une poêle chaude, avec les pignons et les olives entières. Laissez les environs 10 minutes.

Farcissez les pâtes de brick de viande pour en faire de petits balluchons. Placez les dans un plat allant au four.

Coupez les aubergines et les courgettes en tranches, mettez les dans un plat allant au four. Arrosez les d’huile d’olive, salez et poivrez. 

Préparez les tranches de pain : huilez les, frottez les d’ail et disposez les sur un plat allant au four.

Allumez votre grill. Mettez d’abord les légumes à griller. Une fois bien dorés, sortez les et mettez les tranches de pain à grillez. 

Gardez les légumes et le pain au chaud dans le four, éteignez le grill, mettez le four sur 220°. Enfournez la viande pendant 8 minutes. Pendant ce temps, assaisonnez la roquette selon votre gout. 

Dressez les assiettes, un ballotin de viande, quelques aubergines et courgettes en tranche, une tranche de pain et de la roquette. 

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Encore une petite pour la route : 

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L’innocent en Inde

L’innocent. De In-Noscere, celui qui ne sait pas. L’innocent est à l’origine l’ignorant, l’inculte… le vierge et l’enfant. Vierge de toute idée, de toute pensée, de toute doctrine et de tout dogme. Et voici cet enfant qui met ses pas dans les pas de son père, vers l’Est, loin, toujours plus loin. Après les montagne et les visages blancs, voici les visages foncés, les cheveux longs et noirs, les femmes drapées dans de grandes étoffes colorées… l’Inde, enfin! 

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En tant que cannibale, il vous faut, pour deux personnes : 

– 2 belles tranches d’agneau, avec ou sans os, selon votre envie. L’innocent de ma table : deux belles cotelettes de 2 cm d’épaisseur.
– deux yaourts natures
– du curry
– du cumin
– de la coriandre
– de la canelle
– deux belles échalottes 

Pour moi, tout est en poudre, mais si vous avez du frais, c’est encore mieux. 

Faites revenir vos échalottes émincées dans une cocotte à couvercle. Faites les suer, sans les colorer. Quand elles sont translucides, augmentez le feu et saisissez brièvement vos morceaux d’agneau. Une fois colorés, baissez le feu et ajoutez les yaourts et les épices à votre goût. Attention avec la canelle, le gout est très prenant. Laissez mijoter une vingtaine de minutes à cocotte fermée. 

J’ai servi ce plat relevé avec du riz et on s’est régalés!

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Sweet sixteen 2

Pour mes 16 ans, le 11 septembre (et j’ai été gâtée, les amis, je ne vous dis que ça), je me suis une fois de plus glissée derrière les fourneaux histoire de ravir mes papilles.
Pour le plat, j’ai longuement hésité vu que je maitrise mal les cuissons des viandes et que je suis un poil difficile aussi (pour moi, tout ce qui n’est pas tendre et saignant est classé dans “semelle immangeable”).

J’avais envie d’un plat d’automne mais les potirons n’étaient pas encore sortis, il faisait froid alors j’ai décidé de faire un classique d’entre saison : un gigot d’agneau accompagné de ses girolles et de pommes de terre.

Regardez moi ces patates si elles n’ont pas l’air absolument succulentes!

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Ingrédients :

   * Comptez à peu près 200 gr de viande par personne (un peu plus si ce sont des carnivores affamés, des adolescents en pleine croissance ou des étudiants qui mangent des pizzas toute la semaine). N’oubliez pas que le gigot d’agneau comporte un os… qui pèse. Pour ma part, pour 5 personnes, j’avais un gigot de 1300 gr et on a rongé l’os il n’en restait plus rien!
   * Trouvez à peu près 100 gr de girolles par tête de pipe.
   * Trayez une vache et faites 20 cl de crème fraiche (light si vous voulez) avec le lait
   * Plantez des patates vulgaires et récoltez des pommes de terre grenaille. Réservez la quantité qu’il vous plait pour ce succulent repas.
   * Si vous avez fait l’entrée de ce plat, vous disposez des épices dont vous aurez besoin sinon prévoyez estragon, ciboulette et coriandre et tout ce qui vous fera envie, version frais et haché.
   * il vous faut de la moutarde ( 2 cuillère à café bien dodues environ)
   * de l’ail (le mien est rose, c’est trop choupinou, je suis une vraie princesse dans ma cuisine. Je pue l’ail, mais il est Rose!)

How to :

Relevez vos manches et patouillez. Entaillez votre bête morte avec la pointe d’un couteau de cuisine. Dans les encoches, enfoncez des tiges d’ail (roooooooooooose), histoire de parfumer la bête. Faites une mixture infame avec les herbes fraiches et la moutarde. Ajoutez un grain de sel et tartinez votre cadavre de la potion ainsi obtenue.
Ensuite, enfournez la bête (chez moi, c’est à 200° pendant à peu près 3/4 d’heure vu la bête) dans un plat préalablement huilé. Personnellement, j’ai une notion de la cuisson toute relative : quand le gigot a une belle tête, j’entaille pour voir où il en est. J’ai des sanguinaires à table donc j’ai servi un gigot très très rosé, comme vous pouvez le constater.
Pendant que votre bête cuit, prenez l’entrée ou l’apéro. A 20 minutes de la fin de cuisson approximative, tranchez vos pommes de terre grenaille et faites les cuire à grande eau. Dans un caquelon, jetez vos champignons (que vous aurez secoués pour en faire tomber les résidus de terre. Un champignon ne se nettoye pas à l’eau, sinon il l’absorbe et se transforme en éponge) dans le-dit caquelon bien chaud avec un filet d’huile d’olive. Salez et poivrez les parasites, faites les fristouiller à grand bruit puis baissez le feu et ajoutez la crème fraiche.
Si le dieu de la cuisine est avec vous, vous pommes de terre seront prêtes pile poil en même temps que votre gigot. Si vous êtes maudit, vous pourrez vous consolez en mettant vos patates avec le gigot, dans le four, pour qu’elles se tiennent chaud… et qu’elles prennent le gout et les arômes (et le gras aussi, oui)!

Servez le tout bien chaud à vos convives affamés. Vous me direz des nouvelles de la petite croute d’herbe et de moutarde.

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