Risotto crèmeux à la pomme et à la pancetta grillée
Depuis qu’il y a un breton dans ma vie, je n’ose plus faire des crêpes. Parait qu’elles sont pas vraiment des crêpes, mes crêpes. Parait qu’elles sont trop épaisses, que j’utilise pas la bonne farine, que la bière dedans c’est pas bien et qu’on dirait des blinis ou des pancakes. Bref, je suis punie.
Mais le breton aime les risotti. Alors j’ai farfouillé et j’ai trouvé cette petite merveille, dans un Elle Cuisine (revue que je vous recommande, d’ailleurs – et je ne suis pas coutumière du fait).
Il s’agit donc d’un risotto crèmeux à la pomme et à la pancetta grillée… L’acidité et la fraicheur de la pomme verte, le salé et le croquant de la charcuterie et la douceur crèmeuse du riz forment une alliance quasi-parfaite au palais…
Risotto crèmeux à la pomme et à la pancetta grillée :
Ingrédients pour 6 personnes pour une entrée :
- du riz à risotto, quantité à voir selon les instructions du paquet et l’appétit des convives.
- une grosse pomme verte, très acide
- le jus d’un demi citron
- 2 tranches de pancetta par personne
- 250 gr de mascarpone
- du bouillon de légume ou de poulet pour le risotto
- un gros oignon
- une grosse gousse d’ail
- un peu d’huile d’olive
How To :
Coupez la pancetta en morceaux et faites la frire, à sec, dans une poêle très chaude. Réservez les morceaux frits sur du papier absorbant.
Coupez la pomme en dés, et réservez les dans le jus de citron pour éviter qu’elle brunisse.
Hachez l’oignon et l’ail et faites les revenir dans l’huile d’olive dans une grande marmite. Quand ils sont translucides, ajoutez le riz à risotto et remuez jusqu’à ce qu’il soit translucide, lui aussi.
Commencez votre risotto proprement dit en ajoutant, louche après louche, la suivante quand la première a été absorbée, votre bouillon. Il ne faut jamais cesser de touiller. Votre risotto est cuit quand le riz est mou sous la dent, sans que la préparation ne ressemble à une bouillie. Soyez assez vigilants : le côté crèmeux du risotto sera apporté par le mascarpone, donc dosez vos dernières cuillères de bouillon avec précision.
Enfin, quand le risotto est cuit, ajoutez le mascarpone et le parmesan rapé selon votre gout. Ils fondront le temps de rectifier l’assaisonnement en sel mais surtout en poivre. Terminez en ajoutant la pancetta frite et les pommes débarrassées du jus de citron. Servez aussitôt.
Trucs et ficelle :
– Evidemment, il est tjs possible de rajouter une bonne rasade de vin blanc dans le risotto, histoire de relever le tout.
– Utiliser la poire au lieu de la pomme peut être une bonne alternative
– Servez le risotto très vite après avoir ajouté les pommes : c’est aussi le contraste entre la chaleur du riz et la fraicheur de la pomme qui apporte son côté étonnant et savoureux à cette association.
Polpette et KKVKVK#39
Je ré-édite ce billet pour participer au :
Organisé par Piment d’oiseau, splendide blog cuisine gagant de l’édition précédente sur les croques monsieur.
Le thème de cette fois-ci est, vous l’aurez deviné, la boulette et je participe avec plaisir à ce concours pour le plaisir.
Bonne chance à tous les participants!
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Alors, non, les polpettes ne sont pas de petits poulpes! Les polpette sont des petites boulettes. Comme ça :
Les petites boulettes épicées :
Ingrédients :
J’avais un apéro-bouffe et, entre autres choses, des petites boulettes épicées à faire. Pour les doses, nous étions 7 et j’ai utilisé :
- 500 gr de haché porc et veau
- 500 gr de haché porc et boeuf
- une poignée de feuilles de menthe
- deux poignées de feuilles de basilic
- deux poignées de feuilles de coriandre
- une poignée de feuille de persil plat
- deux echalottes
- sel, poivre
- deux oeufs
- de la passata de tomates (pour la cuisson)
HOW TO :
Mélangez le haché avec les herbes coupées en morceau et les oignois émincés très fin. Ajoutez les deux oeufs pour lier le tout.
Façonnez les boulettes entre vos mains mouillées (cela évitera que le haché ne colle à vos mains au lieu de s’agglomérer).
Placez les dans un plat allant au four, arrosez le tout de sauce tomate, cela évite que les polpette ne collent au plat sans devoir utiliser de matière grasse. Au passage, ca en fait un plat relativement light : le haché reste une viande grasse mais au moins, on ne rajoute rien!
Mettez les polpette à cuire au four, 20 à 25 minutes à four chaud.
Servez les chaudes, tièdes ou froides, avec ou sans sauces (par exemple sauce aigre-douce et sauce soja).
Ces boulettes se congèlent très bien une fois cuites.
Linguine au foie gras
Envie d’épater votre amoureux/se mais peu de temps, peu de confiance dans vos capacités et petite cuisine mal équipée? Cette recette est pour vous.
C’est facile, rapide, peu cher mais ca en jette un max : les pâtes au foie gras.
Linguine au foie gras :
Ingrédients :
- des linguines pour deux : environs 60 gr de pâtes crues par personne pour une entrée
- une demi-briquette de crème fraiche
- deux petits morceaux de foie gras (comme les petits ronds qu’on vend au supermarché)
- du poivre et du sel, très parfumés
How To :
Laissez un morceau de foie gras au frigo, le plus longtemps possible.
Faites chauffer l’eau pour les pâtes.
Faites fondre l’autre morceau de foie gras dans une demi-briquette de crème fraiche, à feu doux.
Faites cuire les pâtes et, une fois cuites et égouttées, mélangez les au mélange crème/foie gras.
Divisez les pâtes en deux et ajoutez y des morceaux de foie gras frais, issus du morceau maintenu au frais. A la chaleur des pâtes, ils vont fondre un peu, prendre la bonne température. Salez et poivrez le tout, avec des condiments très parfumés.
Servez aussitôt.
Trucs et ficelles :
– Ayez la main légère sur le sel : le foie gras du commerce l’est souvent beaucoup. Pour peu que vous ayez copieusement salé l’eau des pâtes, comme il se doit, attention à l’effet « eau de mer ».
– Pour rendre l’assiette plus jolie, vous pouvez ajouter un brin de basilic ou de ciboulette, une demi-tomate cerise sur le plat.
– Néanmoins, si vous souhaitez ajouter quelque chose à cette préparation, je vous conseille les morilles.
– Pour rajouter encore une touche de fête au plat, vous pouvez ajouter une goutte de porto ou de Sauternes dans votre préparation crème/foie gras.
Dies Irae – encore.
Je suis en colère contre toi parce que tu étais supposé me donner une base stable pour m’apprendre à aller vers les autres, surtout du sexe opposé. Au lieu de ça, tu n’as été qu’inconstance, inconsistance, absence et puis mort. Tu n’écoutais rien ni personne, tu étais sourd à tout, sauf à ta voie, en vérité, tu étais un bel égoiste. Une belle ordure d’égoiste qui ne se souciait absolument pas d’un être petit, fragile et qui sortait de lui en plus.
Tu as voulu absolument me voir, visiblement pour satisfaire ton besoin narcissique d’être en contact avec un petit être qui te ressemblait. J’avais besoin de structure, de présence, de limites, et d’amour. Et je t’ai servi de miroir et de paillasson pour ton ambition.
C’était de la négligence. Rien de moins.
Et pour ça, je suis en colère parce que tu m’as abimée alors que tu devais me construire. Rien ne te forçait à être là, mais en choisissant d’y être, tu as choisis des devoirs en plus de tes droits. Dans le fond, tu ne vaux pas mieux que ces gens qui arrivent la gueule enfarinée dans mon bureau, pour réclamer une « chance de faire leurs preuves » sans se rendre compte qu’ils ont eu quelques chances, déjà, et qu’il est p-e temps qu’ils prennent leurs responsabilités. A ceci prêt que toi, sombre crétin, tu as fait des études et je porte tes gênes. Tes saloperies de putain de gênes que je te vomirais bien à la gueule de porc que tu es.
Tu es un irresponsable parental et donc un être dangereux pour les humains en devenir que sont tes enfants. Tu as été dangereux pour moi et je porte encore aujourd’hui les traces de ton narcissisme inconséquent et de ton idiotie crasse.
Tu es la pire espèce de parent et d’humain qui soient : tu n’as même pas l’excuse de l’inculture ou du manque d’éducation. Tu pouvais le faire, mais tu ne voulais pas, engoncé dans tes certitudes.
Tes certitudes, parlons-en, je n’ai même pas à te souhaiter de t’étouffer avec elles, tu as eu le bon gout de mourir pour elles. Mort en héros, histoire de te conforter encore un peu plus dans ton égocentrisme… J’espère que ce fut long et douloureux. J’espère que tu rôtis en enfer. J’espère que tu as souffert au fond de ta chair comme je souffre au fond de la mienne. Peut-être as-tu eu de la chance tiens, de crever comme un chien en pleine rue, qui sait ce que j’aurais pu t’infliger? Je rêve : tu n’aurais même pas eu l’élémentaire élégance de m’affronter.
Décidément, tu n’es qu’égoisme, égoicentrisme, narcissisme, surdité et lâcheté. Tu manquais de classe et de réflexion.
Tu n’as pas de couilles. Tu n’en as jamais eu. Semer tes entrailles, comme le premier étalon du troupeau était ta seule qualité. Ca ne fait pas de toi un père. Ca ne fait même pas de toi un Homme.
T’es juste qu’un pauvre con que j’ai eu le malheur d’avoir pour père. Et tu m’as laissée là, farcie de ta vie de merde. Tu devais m’aider, tu n’as fait que m’encombrer et m’abîmer. Je reste là, seule avec tes étrons semés dans ma tête.
Je te hais.
Lasagne de coppa et de coeurs d’artichauts
Ah, les pâtes! Grand amour de ma vie!
Il faudra un jour que je réfléchisse à ma façon de m’alimenter, je suis une grande fan des féculents et diététiquement, je suis une quiche (aux fromage et lardons, évidemment, pas aux légumes et poisson maigre)! Enfin, ce qui compte, c’est le plaisir…pour le moment!
Or donc, une lasagne un poil différente, puisque sans sauce tomatée,à la coppa et aux coeurs d’artichauts.
La coppa, nous apprend internet, est une charcuterie italienne (on s’en doutait) et Corse (je l’ignorais). Elle provient de l’échine de porc, salée, lavée au vin rouge et fumée… D’où sa couleur plus foncée qu’une autre charcuterie. Au contraire de la pancetta, que j’adore aussi, qui n’est pas faite avec du vin rouge.
En langage Miaouw, ca donne : la coppa est plus forte que la pancetta, ce qui me conduit à l’utiliser en cuisson, en mariages plutôt que crue en apéro. Par ailleurs, elle donne aussi plus de goût aux plats que des lardons ou autre speck.
Et donc, la coppa est un excellent accompagnement pour les coeurs d’artichauds, puisque la saveur douce de ceux-ci a besoin d’un petit coup de fouet pour se révéler aux les papilles.
Lasagne de coppa et de coeurs d’artichauts
Ingrédients : Je crois que je m’enfonce dans la pifométrie…
- un paquet de pâtes à lasagne fraiches (v.trucs et ficelles)
- deux grosses tranches de coppa, environs 0.5 à 1 cm de haut, coupées en dés.
- une boite de coeurs d’artichauts
- de la farine
- 1 CS de beurre
- du lait
- du fromage rapé (v. trucs et ficelles)
- sel, poivre et noix de muscade
How to :
D’abord, préparez une béchamel. A feu moyen, Faites fondre le beurre dans une casserole puis ajoutez de la farine, juste assez pour absorber le beurre fondu. Ajoutez ensuite du lait, petit à petit. Attendez que la farine ait absorbé le lait avant d’en rajouter. Votre sauce doit s’épaissir puis s’allonger. Une fois la quantité de sauce voulue obtenue (ca dépend donc de votre quantité de lasagne), coupez le feu, et ajoutez le fromage râpé.
Jetez aussi dans la sauce chaude votre coppa en dés et enfin, vos coeurs d’artichauts en dés eux aussi. Laissez poser un peu, pour que la coppa libère ses arômes. Ensuite goutez et assaisonnez selon votre gout.
Préchauffez le four selon les instructions du paquet de lasagne. Montez votre lasagne : une couche de pâtes, puis une couche de sauce et on recommence. On finit par une couche de sauce, que l’on saupoudre encore de fromage râpé.
Enfournez pour le temps défini par le paquet de lasagne.
Trucs et ficelles :
J’utilise de la pate à lasagne fraiche parce que je la trouve plus facilement manipulable, surtout niveau cuisson. Les pâtes dures (ou sèches) ne cuisent jamais dans mon four, c’est une catastrophe!
Pour le fromage rapé, utilisez celui qui vous plait. Pour ma part, c’est du parmesan par habitude mais je pense qu’un bon Comté fleuri ou un Gruyère bien puissant, ca irait aussi. Pourquoi pas un fromage de chèvre, d’ailleurs : l’artichaut demande d’être réveillé par la coppa mais aussi par le fromage.
Evidemment, les lasagnes, c’est bon avec tout. Donc, si vous avez des variantes, n’hésitez pas à m’en parler dans les commentaires!
De coeur, de sang
Le couple a-t-il une raison d’être sur la longue durée en dehors de la notion de famille?
Qu’est ce qu’une famille? Les dictionnaires tournent autours d’un lien entre des gens actualisé par des ancêtres communs, un nom, une filiation biologique, un patrimoine.
Bilan? Je porte, comme tout le monde, les gênes de deux « familles » donc des ancêtres communs. Avec les uns, j’ajoute le port d’un nom commun. Le patrimoine, d’un côté comme de l’autre, c’est nada.
Mais quid du fait de se sentir « de la famille de »? Quid du sentiment d’appartenance? Quid des rapports affectueux, sentimentaux quotidiens?
Ca, c’est le Grand Inconnu. Etre de la famille de, reconnaitre l’autre comme faisant partie de sa famille et ce avec plaisir, je ne sais pas ce que c’est.
D’où des difficultés à me lier, à penser le couple dans la durée, à penser la maternité. J’ai pas le mode d’emploi.
Ca s’achète où?
Timbale de légumes, pomme de terre et pesto
Après un abandon plus ou moins long de ce blog…. Je reviens, mais je ne promets pas que je resterai! Le blog est un plaisir et doit le rester et… Et bien je dois admettre que je n’aime pas être régulière. Donc, j’ai décidé de faire comme je le sens et de poster quand ça me prend. Je sais qu’il est plus simple de poster à intervalle régulier mais ca n’est pas du tout dans mon caractère. A 30 ans depuis 2 ans, il était temps que je m’en rende compte!
Bref, trève de bavardages inutiles, la recette! Ainsi donc avais-je besoin d’un accompagnement pour mon porc truffé à la sauge et une amie m’avait parlé de cette recette, dégottée par sa mère (fine cuisinière s’il en est), qui était l’enfance de l’art et l’explosion des saveurs…
Timbale de légumes, pomme de terre et pesto (maison, bien sur) :
Ingrédients :
- de la purée de pomme de terre maison
- une aubergine
- deux tranches de tomates par personne
- 1 tranche de jambon de parme bien parfumé par personne
- du basilic
- de l’huile d’olive
- une gousse d’ail
- des pignons de pin
How To :
Tranchez vos tomates (lavées, évidemment), en tranches. Tranchez votre aubergine en tranches de la même taille que les tomates.
Faites chauffer une poêle et faites y griller vos tranches de jambon. Elles doivent rendre de la matière grasse. Dans la même poêle, faites griller vos tomates, puis vos aubergines. Réservez vos grillades sur du papier absorbant.
Munissez vous de vos timbales. Montez les en alternant : une tranche d’aubergine, une tranche de jambon, une tranche de tomates, puis de la purée. Recommencez jusqu’à remplir la timbale, terminez avec une tranche d’aubergine.
Préparez votre pesto : lavez vos feuilles de basilic puis mixez les avec l’huile d’olive, les pignons et de l’ail (pour ma part, je rajoute aussi du sel!). Le meilleur pesto est celui qui n’est pas tout à fait mixé. Si on voit encore les feuilles de basilic et des morceaux de pignons, c’est plus savoureux que si le tout forme une pâte informe mais néanmoins très parfumée.
Préparez un bain-marie pour vos timbales et recouvrez les de papier aluminium. Faites les cuire au bain-marie pendant 20 minutes à 180°C.
Au moment de servir, retournez vos timbales sur les assiettes et ajoutez une petite cuillère de pesto par dessus. Servez aussitôt.
Trucs et ficelles :
Le papier aluminium est indispensable : cela permet que les timbales ne sèchent pas durant la cuisson.
Je suppose qu’il doit être aisé de remplacer les ingrédients par tout ce qui vous ferait plaisir…une purée de potiron, de potimarrons, des noisettes, des carottes… Bref, faites vous plaisir!
Simple comme bonjour
Pas tellement vite fait, mais puisque c’est le four qui bosse…
La cote de boeuf géante cuite basse température… Pour les amateurs de viande tendre, qui saigne, bien épaisse, c’est le pur bonheur!
Les photos sont moches, par contre…
Donc, comment réalise-t-on cette merveille?
Un plat, un four à 80°C maximum, la bête huilée, salée, poivrée, romarinée. Enfournez-là pendant 2 heures (ma bête faisait 1,5kg). Sortez, coupez, servez, fondez.
C’est tout!
La petite victoire
Parce que bon, je me plainds, je chouine, je geins, je philosophe, je fais l’inventaire de mes espoirs déçus, mes défaites, mes espoirs tout court mais…Et mes victoires, alors!!
Et bien ma victoire de ces temps-ci, c’est… d’avoir, en douce, installé FireFox sur le pc de mon boulot, ce qui est rigoureusement interdit et que, crétinasse de fonctionnaire que je suis, je suis pas sensée savoir faire. Je suis sensée être le degré zéro de l’informatique, celui qui confond souris et clavier.
Et je les ai laissé croire ça.
Et j’ai installé mon FF.
Et personne ne le sait.
Je jubile…
Scones au saumon fumé
Avant de servir les gnocchis ratés et le mi-cuit trop cuit, j’avais quand-même réussi quelque chose dans ce diner!
J’ai donc servi un gros apéritif, plutot réussi d’ailleurs, dont les pièces maitresses étaient ces scones au saumon fumé.
Je n’avais jamais réussi de scones sucrés et je me suis lancée. O surprise, les scones salés me semblent beaucoup plus simples à réussir, je ne comprends pas bien pourquoi…Depuis, j’ai essayé encore de faire des scones sucrés…ben ca a raté encore! Je pense être maudite du scones sucré!
Scones au saumon fumé :
Ingrédients : Pour 8 scones environ, j’ai utilisé
250 g de farine
1 sachet de levure chimique
50 g de beurre mou. J’ai utilisé du beurre demi-sel
100 ml de lait
1/2 c à café sel
1 jaune d’oeuf ou du lait pour dorer
50 grammes de saumon fumé (à peu près 2 tranches)
How To :
Mélanger les ingrédients secs. Ajoutez ensuite le beurre mou. Mélangez aux doigts, jusqu’à l’obtention d’un mélange sablé. Ajoutez le lait et le saumon coupé en morceaux. Si la pâte est collante, ajoutez de la farine.
Etalez la pâte au rouleau sur une épaisseur de deux cm. Coupez les scones avec un emporte-pièce rond. Baidigeonnez les scones d’oeuf.
J’ai allumé mon four à 250 °C. Enfournez à four chaud, pour 6 à 7 minutes de cuisson. Une fois cuits, sortez les et laissez les refroidir.
Les manger tièdes est encore meilleur!
Trucs et ficelles :
La recette initiale parle d’une cuisson en deux temps : 6 minutes à 220 °C, puis 6 minutes à 190°C. Mon four est électrique et un peu vieux, ce genre de subtilités dépasse largement sa résistance. Avec un four à chaleur tournante, cette cuisson doit garantir une cuisson à coeur très moelleuse et un extérieur très croustillant. Ceci dit, avec mon four asthmatique, ils étaient délicieux quand-même!
J’ai refait la recette avec une garniture de lardons et dés de Comté fruité, ce fut succulent!
Et on les a mangés tellement vite qu’on n’a pas pris de photo!