Le corps maternel 2

J’ai intitulé le billet d’hier « le corps maternel »… Sans parler de ma mère une seule fois. Encore une preuve que nous sommes bien trop étroitement liée : je suis incapable d’expliquer pourquoi je sens que mon corps est lié au sien, alors que le cordon ombilical a été coupé il y a presque 30 ans.

L’idée qui m’a été transmise sur le corps par ma mère est une idée ambivalente. A la fois, elle insistait pour que je fasse du sport, elle a tenté de me faire manger des légumes ET son corps me disait « on s’en fout ». On s’en fout d’être mince, on s’en fout d’être belle aux yeux des autres. Et pourtant, j’étais belle dans ses yeux à elle. Cet infâme paquet d’amour/haine m’a été transmis et moi, d’une loyauté crétine sans borne, j’ai tout avalé et tout reproduit!

Aujourd’hui, j’aime et je hais ce corps qui me/se porte bien… Et je mange comme une truie.

Le corps maternel

Nouveau gros morceau entamé chez la psy… Ca ne m’enchante guère mais mon ambivalence s’étend à mon corps. D’un côté, je ne l’aime pas, je me vois grosse dans la rue, dans les magasins. De l’autre, il me sert : je me sens dynamique, pulpeuse et parfois sexy. Je séduis, je fais du sport, je me sens « bien ». 

Et je ne me supporte plus. Ce qui me parait étonnant, c’est que cet inconfort ne se manifeste qu’en comparaison. Et le dégout est de plus en plus violent. J’ai parfois envie de couper ce qui dépasse de mon corps, en rue alors que 5 minutes auparavant, chez moi, je n’y pensais pas voire me trouvait jolie! 

J’en ai assez, je pense, de devoir en faire plus parce que je ne suis pas mince. J’ai l’impression que la minceur confère la beauté, je SAIS que ce n’est pas vrai, je SAIS que je suis jolie « dans mon genre » et je sais que certaines femmes minces sont moches. Néanmoins, j’ai l’intime conviction que si je veux être belle, je dois mincir. 

Je viens de l’écrire et je le regrette déjà, ma tête me dit que c’est idiot. C’est idiot.

Nitghtmare

Je dors mal. Je me réveille fatiguée, j’ai mal au crane, aux cervicales, aux épaules et aux lombaires. J’ai les machoires douloureuses et la mandibule inférieure qui « avance » jusque devant la supérieure. Et j’ai l’impression de ne pas avoir respiré la nuit.

Et je me réveille, la nuit, en hurlant « DALE ».

Oui, le candidat de la nouvelle star.

Et c’est ça qui me fait le plus flipper.

Ravioli au jambon cru

Bon, une deuxième recette de pâte, puisqu’on y est et que j’adore ça! Celle ci a été trouvée dans le livre « Pâtes » de B. Ballureau aux éditions Flammarion. 

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Ravioli de jambon cru au beurre de sauge : 

Ingrédients 

  • 300 gr de pâte blanche
  • 50 gr de haché porc et veau
  • 5 cl de vin blanc
  • 150 gr de jambon cru
  • 1 oeuf
  • 50 gr de parmesan rapé
  • 1 pincée de noix de muscade
  • quelques herbes fraiches ou sèches : basilic, romarin, thym (bref, ce que vous avez)
  • 60 gr de beurre
  • 5 feuilles de sauge fraîche

How To : 

Mélangez le haché avec les herbes fraiches et faites le cuire 5 minutes à la poêle avec le vin blanc. Laissez réduire, presque à sec.

Dans un bol, mixez ensemble la viande hachée et le jambon cru, ainsi que le parmesan, l’oeuf et la noix de muscade pour en faire la farce des pâtes.

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Abaissez la pâte par morceaux de 50 grammes et découpez les à l’emporte pièce (ou à l’aide d’un verre). 

Farcissez les de la pâte de viandes. Soudez les avec une fourchette et vos doigts mouillés d’eau. 

Pour la cuisson, portez à ébullition un grand volume d’eau. Jetez les pâtes dedans. 

Pendant ce temps, faites fondre le beurre et faites y revenir quelques instants les feuilles de sauge. Quand les pâtes sont cuites, égouttez les sommairement puis jetez les dans le beurre.

Servez sans attendre. 

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Variantes : 

La recette originale préconise de mettre 100 gr de mortadelle en plus dans la pâte.  J’ai goûté, c’est délicieux!

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La LL15

Ce qui fait que cette journée fut atroce

  1. C’est lundi
  2. J’ai pas envie
  3. un boulot monstre 
  4. l’impossibilité physique de tout faire
  5. je me repends aujourd’hui de tout ce que j’ai pu manger ce week-end
  6. c’est long!

Tortellini Alla Valdostana

Ce week-end, je suis morte de faim. Oui, même avec la fameuse tarte au chocolat et au caramel au beurre salé. Alors pour me ranimer, j’ai fait des tortellinis alla valdostana (et aussi, l’entrée inratable et un canard mmmh dont je vous parlerai plus tard). 

Donc, les fameux tortellinis alla valdostana càd fourrés à la fontina, un fromage  de vache italien à pâte dure. C’est la zone de production de ce fromage qui donne le nom du plat : alla valdostana veut dire  » de la vallée d’Aoste », région d’origine de ce délicieux fromage située juste de l’autre côté des Alpes. 

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Tortellini alla valdostana : 

Ingrédients : 

Pour la pâte

  • 350 gr de farine
  • 3 oeufs
  • 2 cuillères à soupe d’huile d’olive
  • sel

Pour la farce : 

  • 200 gr de fontina
  • 1 cuillère à soupe de maizéna
  • 30 cl de lait
  • 3 oeufs
  • une grosse asperge/personne
  • 50 gr de beurre
  • 1/2 échalotte

How to : 

Débarrassez la fontina de sa croute, et faites la tremper dans le lait pendant 1 heure.

D’abord préparez la pâte à pâtes. Donc, tamisez votre farine, faites un puit, cassez y les oeufs puis commencez à travailler la pâte. Quand la pâte à bien absorbé les oeufs, ajoutez de l’huile d’olive. Travaillez la pâte pendant 10 minutes minimum. C’est l’étape la plus importante : le pétrissage donne de la consistance et de l’élasticité à la pâte, et la chaleur dégagée par ce travail aide les ingrédients à cet effet. Pour la travailler, traiter là avec douceur et fermeté…Comme une femme! Un massage profond, des gestes fermes mais aucune violence. On ne lance pas la pâte sur le plan de travail, on ne la frappe pas dans l’espoir de l’aplatir! Travaillez là en l’écrasant devant vous, plier le pâton, tournez la pâte d’un quart de tour et recommencez.

Quand elle est élastique, homogène et à température de votre main (minimum 10 minutes!), filmez la et mettez la au frigo, pensant 20 minutes.

Pendant ce temps, égouttez votre fontina et mettez la dans un caquelon. Délayez la maizena dans le lait de trempagne et ajoutez le au fromage. Ajoutez un oeuf entier et deux jaunes au fromage et au lait. Mettez le tout à chauffez en fouettant. Le fromage fond, passe par une phase liquide puis recommence à durcir. C’est à ce moment-là que vous arrêtez la cuisson et laissez la farce refroidir un peu.

Sortez votre pâte du frigo, abaissez la par petits morceaux et découpez la forme de vos tortellinis avec un emporte-pièce ou un verre. Farcissez là d’un peu de fondue de fontina, scellez les bords avec le blanc d’oeuf et ciselez la fermeture avec une fourchette. Farinez  bien les pâtes fraichement soudées et recommencez jusqu’à épuisement des ingrédients. 

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Et enfin, la dernière partie! Mettez à bouillir un grand volume d’eau avec une grosse pincée (en fait une petite poignée de sel). Pendant ce temps, émincez votre échalotte très finement et faites la revenir dans le beurre. Détaillez vos asperges et ajoutez les aux échalottes quand elles sont bien translucides. Faites les revenir quelques instants. Ajoutez une demi-louche d’eau de cuisson des pâtes, couvrez, baissez un peu le feu et laissez mijoter le temps de cuire vos pâtes. 

Quand l’eau de cuisson bout, jetez vos pâtes fraîches dans l’eau. Elles sont cuites quand elles remontent toutes seules. Leur couleur change aussi elles deviennent plus translucides. Egouttez les et jetez les dans la poele avec les asperges. Remontez le feu et faites les revenir, le temps de les imbiber de beurre. 

Servez aussitôt. 

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Nota Bene : 

  • La recette de la pâte vient du livre « Pates » de B. Ballureau aux éditions Flammarion.
  • La recette de la farce m’a été donnée lors d’un cours de cuisine chez Mmmh avec l’excellent chef Carlo (dont le blog est une mine d’or!)
  • Pour les quantités : j’ai servi ces pâtes en entrée chaude (après une entrée froide, avant un plat de viande et un dessert conséquent) et j’ai compté 1 asperge et 4 pâtes par personne. C’était très bien.
  • En tout, j’ai obtenu assez de pâtes pour : 4 personnes en entrée et deux petits mangeurs en plat principal.
  • La pâte crue se conserve 48 heures au frigo, pas plus! Par contre, une fois les pâtes confectionnées, vous pouvez les congeler.
  • Les pâtes fraiches, c’est très très long à faire mais ca n’a rien de chinois. Je ne peux donc que vous encourager à vous lancer, la différence de gout est incomparable! Bien sur, si vous possédez des robots et autres laminoirs, le travail sera grandement facilité mais…je ne possède rien de tout ça et j’y arrive très bien! D’autant que c’est Mr Miaouw qui pétrit…

La LL 14

Cette semaine, une liste de « je m’en fous ».

  1. Je me fous de la situation économique du pays, tant que ca ne me touche pas
  2. Je me fous d’ailleurs de la situation économique du monde
  3. Je me fous des gens qui meurrent de faim. Je ne m’engage dans rien pour lutter.
  4. En fait, je me fous de la mort.  Probablement parce que c’est une chose tellement grande, tellement dévastatrice que je ne peux pas l’appréhender.
  5. Je me fous de repasser mes fringues
  6. Je me fous du tas de linge à laver qui traine
  7. Je me fous de la situation politique du pays
  8. D’ailleurs, je me fous des actualités.
  9. Je me fous de la morale
  10. Je me fous du qu’en dira-t-on.

Tarte sablée au chocolat et au caramel au beurre salé

Ouesh, ouesh gros, voici de la boulette de patisserie.

Bon, sans rire, c’est juste absolument et divinement délicieux, j’ai failli défaillir de bonheur, alors que je suis moins sucrée que salée!

Je ne résiste pas, je montre deux photos, d’entrée de jeu. 

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Bon, autant vous dire que si les photos sont floutes, c’est à cause du tremblement d’excitation à l’idée de manger ce concentré de bonheur calorique. 

Par contre, c’est franchement long (faut mériter son bonheur papillaire) et ça se construit par étape, donc, je change un peu la façon de présenter la chose. 

Pour la pâte :  (la recette vient de)

Ingrédients : 

  • 250 gr de farine + une pincée de sel
  • 150 gr de beurre ( la recette parle de beurre allégé)
  • 110 gr de sucre en poudre (la recette initiale parle de 100 gr de sucre en poudre + 7,5 gr de sucre vanillé, mais je n’en avais pas)
  • 1 oeuf

How To : 

Tamisez la farine et le sel.

Dans un plat à part, travaillez le beurre avec le sucre, avec vos doigts. Quand tout est bien amalgamé, ajoutez l’oeuf et continuez à travailler le pâton. 

Faites une fontaine dans la farine ( = faire un trou au milieu) et mettez y le pâton précédemment obtenu. Travaillez rapidement le pâton en incorporant petit à petit la farine. Travaillez la pâte en la poussant devant vous, avant de la plier et de la repousser. Si vous voulez qu’elle reste molle et tendre, ne la frappez pas! Une pâte à tarte se travaille avec la main douce et légère, pas en frappant et en lançant. 

Une fois que la farine est incorporée (et ca doit aller vite), filmez votre pâte et mettez là au frigo pendant au moins une demi heure.

Préchauffez votre four à 180 °C. Abaissez la pâte dans un moule à tarte puis passez là au four le temps qu’elle commence à cuire. Sortez là quand les bords commencent à changer de couleur. Chez moi, cela a pris 20/25 minutes. 

Une fois qu’elle a commencé à cuire, laissez là en dehors du four, le temps de faire la pâte au chocolat. 

La pâte au chocolat : ( la recette vient de là )

Ingrédients : 

  • 300 gr de chocolat (la recette parle de 200 gr de chocolat noir à 70% de cacao  et 100 gr de chocolat à 50% de cacao). Pour ma part, ce fut 150 gr de chocolat au lait et 150 gr de chocolat noir
  • 100 gr de beurre
  • 2 oeufs entiers
  • 2 jaunes d’oeufs
  • 60 gr de sucre en poudre

How To : 

Augmentez le four à 190°C.

Faites fondre au bain marie le chocolat et le beurre. Quand le mélange est bien fondu, fouttez le pour le rendre bien homogène. Fouettez les oeufs, les jaunes et le sucre jusqu’à ce que le mélange blanchisse. Ajoutez ensuite ce mélange au chocolat. Fouettez bien, pour tout incorporer.

Versez le chocolat sur le fond de tarte et enfournez pour 10 minutes. J’ai attendu jusqu’à ce que le chocolat commence à perler. 

Sortez votre tarte, laissez la refroidir et mettez là au frigo pendant une heure au moins. 

Le caramel au beurre salé :  (pour les sources, idem que pour le chocolat)

Ingrédients : 

  • 150 gr de sucre
  • 3 CS d’eau
  • 50 gr de beurre salé
  • 20 cl de crème fraiche

How to : 

Faites chauffer le sucre et l’eau pour faire un caramel roux. Quand le mélange commence à roussir, retirer le du feu, ajoutez le beurre salé et fouettez jusqu’à la fonte complète du beurre. Ajoutez ensuite la crème, remettez sur le feu et fouettez pendant 15 minutes. Le mélange épaissit de nouveau. Attendez qu’il refroidisse un peu puis étalez le sur le chocolat. Remettez le tout au frigo, le plus longtemps possible. 

Idéalement, passer la nuit au frigo fait beaucoup de bien à cette tarte. Mais la tentation est grande…

Allez, encore quelques photos, histoire de finir de vous convaincre!

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Et maintenant, que vais-je faire?

Serge, sors de mon corps, merci.

Bon, Sylvie, l’heure est grave, l’article le sera aussi. Je le couvais depuis un petit temps mais voilà, c’est avéré, j’ai bel et bien l’impression que mon bonheur ne sera pas éternellement dans le sévice social.

Quand j’ai choisi ce métier-là, soyons honnête, c’était par dépit. Pas envie de bosser, une mère démissionnaire du portefeuille, il me fallait un plan d’études courtes, pas chères, réussissables et voilà, je me suis retrouvée assistante sociale en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire.

Très sincèrement, j’adore mon métier. J’aime voir les gens, rencontrer le monde et, il faut bien le dire, mettre mes mains dans la merde. J’aime l’exercer en prison, où ma pratique n’est semblable à nulle autre, j’aime le côté expertise et rédaction ( bien que je perde de ma plume au profit d’un langage plus imagé mais moins châtié, il serait temps, Nadine, que vous vous penchiez sur mon cas), j’aime analyser et aussi, soyons là encore honnête (je sais, ça me perdra), j’adooooore CADRER! Voilà, c’est dit, j’adore mon métier mais.

Mais il y a un mais, sans quoi cet article aurait encore moins d’intérêt que ce qu’il ne recèle déjà (merci de me le faire remarquer, Simone). MAIS des tas de choses en moi bouillonnent. Notamment, je me rends compte qu’il me manque de l’excitation…et cette excitation, je la trouve dans ma cuisine. Pire que tout, je la retrouve AVANT même d’être dans ma dite-cuisine. Cette réflexion m’a fulgurée ce matin, quand je me suis surprise à avoir des papillons dans le ventre parce que vendredi (après-demain, donc), j’allais cuisiner!

Cette excitation-là, il faudrait vraiment qu’elle me permette de gagner du fric. Je serais alors la femme la plus heureuse du monde. A laquelle toutefois il manquerait une petite centaine de paire de chaussures, de sacs assortis, de bijoux et de montre (si tu veux faire de moi la femme la plus heureuse du monde, envoie moi un mail, je te dirai sur quel compte tu peux verser ton obole).

Donc, histoire de me filer de l’excitation, j’ai passé un concours à l’Union Européenne pour devenir assistante sociale honteusement bien payée. Ben je l’ai réussi mais pas assez bien pour être retenue dans les 160 premiers.

Comment ça, ça n’a rien à voir?

Entrée inratable

Et déclinable à l’infini…ou presque! 

Bon, je fais cette entrée souvent par ce qu’elle allie plusieurs éléments essentiels : elle est simple, on peut la faire au pifomètre, on peut en modifier les ingrédients et en faire varier les quantités selon les besoins. 

La voilà : 

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Tartare de thon et mousse de roquette : 

Ingrédients : 

Pour réaliser ce délice gustatif pour 6 personnes, il faut 

  • 1 belle botte de roquette
  • 20 cl de crème fraiche non allégée
  • environ 100 gr de thon rouge frais/personne
  • ciboulette
  • coriandre
  • sel et poivre
  • huile d’olive
  • jus de citron
  • 1 feuille de gélatine (ou de l’agar-agar)
  • beaucoup d’amour

How To : 

D’abord, faites mariner le poisson. Détaillez le en petit dés et assaisonnez-le avec la ciboulette et la coriandre en petits morceaux, le sel et le poivre, l’huile d’olive et le jus du citron. Réservez au frais et avec beaucoup d’amour. 

Le tartare de près : 

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Ensuite, faites la mousse de roquette. Faites blanchir la roquette deux minutes à l’eau bouillante avec amour. Essorez la bien. Mixez là avec un  peu de crème fraiche. Fouettez le reste de la crème en chantilly et incorporez là à la purée de roquette. Faites fondre votre gelatine dans un peu de lait et ajoutez la au tout. Mélangez bien, salez et mettez au froid. Ca doit « prendre » un peu avant de monter vos verrines. 

Voilà la mousse de roquette de près : 

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Enfin, montez vos verrines. Remettez le tout au frais, le temps de servir. Avec amour, bien sur.

Variantes : 

Si la mousse a déjà bien pris, vous pouvez aussi les monter en millefeuilles, à l’aide d’un cercle à pâtisserie. 

Vous pouvez remplacer le thon rouge par du saumon frais.

La gélatine s’utilise indifférement de l’agar-agar mais attention, l’agar-agar doit bouillir quelques instants avant d’être utilisé. 

Il est possible de parfaire le mélange en semant quelques gouttes de crème de vinaigre balsamique sur la mousse de roquette, juste avant de servir.

Il est aussi possible de faire un miroir au vinaigre balsamique en faisant fondre une feuille de gélatine (ou de l’agar-agar) dans le vinaigre et en la faisant prendre au frais. Personnellement, le gout en devient trop prononcé et gâche le gout subtil du reste.

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